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NOM

       epoll – Notifications d'événements d'entrées et sorties

SYNOPSIS

       #include <sys/epoll.h>

DESCRIPTION

       L'interface  de  programmation  (API)  epoll réalise une tâche similaire à poll(2) : surveiller plusieurs
       descripteurs de fichier pour voir si des E/S y sont possibles.  L'API  epoll  peut  être  déclenchée  par
       changement  de  niveau  ou  par  changement  d'état  et  s'adapte  bien à un grand nombre de descripteurs
       surveillés.

       Le concept central de l’API epoll est l’instance d’epoll, une structure interne au noyau qui, du point de
       vue espace utilisateur, peut être considérée comme un conteneur pour deux listes :

       -  La liste interest (parfois appelée l’ensemble epoll) : l’ensemble des descripteurs de fichier  que  le
          processus a enregistrés comme intéressants à surveiller.

       -  La liste ready : l’ensemble des descripteurs de fichier prêts (ready) pour des E/S. Cette liste est un
          sous-ensemble  de (plus précisément, un ensemble de références de) descripteurs de fichier de la liste
          interest. La liste ready est alimentée dynamiquement par le noyau  selon  le  résultat  des  activités
          d’E/S de ces descripteurs de fichier.

       Les appels système suivants sont fournis pour créer et gérer une instance d’epoll :

       -  epoll_create(2)  crée  une  instance  d’epoll  et  renvoie un descripteur de fichier référençant cette
          instance. La version plus récente d'epoll_create1(2) étend les fonctionnalités d'epoll_create(2).

       -  L'intérêt pour des descripteurs de fichier particuliers est ensuite enregistré avec epoll_ctl(2),  qui
          ajoute les articles dans la liste interest de l’instance d’epoll.

       -  epoll_wait(2)  attend  les  événements  d'E/S, en bloquant le thread appelant si aucun événement n'est
          actuellement disponible. Cet appel système peut être considéré comme recherchant des articles dans  la
          liste ready de l’instance d’epoll.

   Détection par changement de niveau ou d’état
       L'interface  de  distribution d'événements d’epoll est capable de se comporter en détection de changement
       de niveau (Level Triggered — LT) ou d’état (Edge Triggered — ET). La différence entre ces deux mécanismes
       est décrite ci-dessous. Supposons que le scénario suivant se produise :

       (1)  Le descripteur de fichier qui représente le  côté  lecture  d'un  tube  (rfd)  est  enregistré  dans
            l'instance d’epoll.

       (2)  Une écriture dans le tube envoie 2 Ko de données du côté écriture du tube.

       (3)  Un appel à epoll_wait(2) est effectué et renvoie rfd comme descripteur de fichier prêt.

       (4)  Un lecteur du tube lit 1 Ko de données depuis rfd.

       (5)  Un appel d’epoll_wait(2) est effectué.

       Si  le  descripteur  rfd  a  été  ajouté à l'ensemble epoll en utilisant l'attribut EPOLLET (détection de
       changement d'état), l'appel epoll_wait(2), réalisé à l'étape 5, va probablement bloquer bien qu'il y  ait
       des données toujours présentes dans le tampon d'entrée du fichier tandis que le pair distant attendra une
       réponse  basée  sur  les données qu'il a déjà envoyées. La raison en est que le mécanisme de distribution
       d'événements détectés par changement d’état délivre  les  événements  seulement  lorsque  des  événements
       surviennent  dans  le  descripteur de fichier supervisé. Ainsi, à l'étape 5, l'appelant peut attendre des
       données qui sont déjà présentes dans le tampon d'entrée. Dans l'exemple ci-dessus, un événement  sur  rfd
       sera  déclenché  à  cause  de  l'écriture  à  l'étape 2 et l'événement est consommé dans l’étape 3. Comme
       l'opération de lecture de l'étape 4 ne consomme pas toutes les données du tampon, l'appel à epoll_wait(2)
       effectué à l'étape 5 peut verrouiller indéfiniment.

       Une application qui emploie l'attribut EPOLLET  de  la  fonction  epoll  devrait  toujours  utiliser  des
       descripteurs non bloquants pour éviter qu'une lecture ou une écriture affame une tâche qui gère plusieurs
       descripteurs  de  fichier.  L'utilisation  préconisée d'epoll comme interface en détection par changement
       d’état (EPOLLET) est la suivante :

       (1)  avec des descripteurs non bloquants ;

       (2)  en attente d’évènement seulement après qu'un read(2) ou un write(2) ait renvoyé EAGAIN.

       En revanche, lorsqu'il est utilisé avec l'interface en détection par changement de niveau (par défaut  si
       EPOLLET  n'est  pas  spécifié),  epoll  est  une alternative plus rapide à poll(2) et peut être employé à
       chaque fois que ce dernier est utilisé, car il utilise la même sémantique.

       Puisque même dans un epoll de type détection le changement  d'état,  plusieurs  événements  peuvent  être
       générés  à  la  réception  de  nombreux  blocs  de  données,  l'appelant  peut,  en spécifiant l'attribut
       EPOLLONESHOT, faire désactiver par epoll le descripteur  de  fichier  associé  après  la  réception  d'un
       événement  avec  epoll_wait(2). Lorsque l'attribut EPOLLONESHOT est spécifié, il est de la responsabilité
       de l'appelant de réarmer le descripteur en utilisant epoll_ctl(2) avec EPOLL_CTL_MOD.

       Si plusieurs threads (ou processus si les processus enfant ont hérité du descripteur de fichier d’epoll à
       travers fork(2)) sont bloqués dans epoll_wait(2) en attente du même descripteur  de  fichier  d’epoll  et
       qu’un  descripteur  de fichier dans la liste interest, qui est marqué pour une notification par détection
       de changement d'état (EPOLLET), devienne prêt, seul  un  des  threads  (ou  processus)  est  réveillé  de
       epoll_wait(2). Cela fournit une optimisation utile pour éviter la bousculade de réveils (thundering herd)
       dans certain scénarios.

   Interaction avec autosleep
       Si  le système est en mode autosleep à l’aide de /sys/power/autosleep et qu’un événement survient et sort
       le périphérique de sa veille, le pilote de périphérique ne gardera le périphérique actif que  jusqu’à  la
       mise  en  file  d’attente  de  l’événement.  Pour  garder  le  périphérique  actif jusqu’au traitement de
       l’événement, l’attribut EPOLLWAKEUP d’epoll_ctl(2) doit être utilisé.

       Quand l’attribut EPOLLWAKEUP est défini dans le champ events pour une struct epoll_event, le système sera
       gardé actif à partir  du  moment  où  l’événement  est  mis  en  file  d’attente,  à  l’aide  de  l’appel
       epoll_wait(2)  qui  renvoie l’événement jusqu’à l’appel epoll_wait(2) suivant. Si l’événement doit garder
       le système actif au delà de ce moment, alors un wake_lock séparé devrait être pris avant le second  appel
       à epoll_wait(2).

   /proc interfaces
       Les interfaces suivantes peuvent être utilisées pour limiter la quantité de mémoire du noyau utilisée par
       epoll :

       /proc/sys/fs/epoll/max_user_watches (depuis Linux 2.6.28)
              Cela  définit  une  limite  au  nombre  total  de  descripteurs de fichiers qu'un utilisateur peut
              enregistrer au travers de toutes les instances d’epoll du  système.  La  limite  est  imposée  par
              identifiant  d'utilisateur  réel. Chaque descripteur de fichier enregistré coûte environ 90 octets
              sur un noyau 32 bits et environ 160 octets sur un noyau 64 bits. Actuellement la valeur par défaut
              pour max_user_watches est de 1/25 (4%)  de  la  mémoire  basse  disponible,  divisé  par  le  coût
              d'allocation en octets.

   Exemple d'utilisation
       Tandis  que  l'utilisation  d’epoll  avec  un déclenchement par changement de niveau correspond à la même
       sémantique que poll(2), le déclenchement par changement  d'état  nécessite  plus  de  clarification  pour
       éviter des décrochages dans la boucle d’évènements de l’application. Dans cet exemple, l’écouteur emploie
       un  socket non bloquant sur lequel listen(2) a été appelé. La fonction do_use_fd() va utiliser le nouveau
       descripteur de fichier jusqu'à ce qu’EAGAIN soit renvoyé par read(2) ou  par  write(2).  Une  application
       d’automate fini piloté par les évènements devrait, après réception d'EAGAIN, enregistrer l'état en cours,
       afin  que  lors de l’appel suivant à do_use_fd(), elle continue avec le read(2) ou le write(2) là où elle
       s'est arrêtée.

           #define MAX_EVENTS 10
           struct epoll_event ev, events[MAX_EVENTS];
           int listen_sock, conn_sock, nfds, epollfd;

           /* Code pour régler le socket à l’écoute, 'listen_sock',
              (socket(), bind(), listen()) omis. */

           epollfd = epoll_create1(0);
           if (epollfd == -1) {
               perror("epoll_create1");
               exit(EXIT_FAILURE);
           }

           ev.events = EPOLLIN;
           ev.data.fd = listen_sock;
           if (epoll_ctl(epollfd, EPOLL_CTL_ADD, listen_sock, &ev) == -1) {
               perror("epoll_ctl: listen_sock");
               exit(EXIT_FAILURE);
           }

               for (n = 0; n < nfds; ++n) {
                   if (events[n].data.fd == listen_sock) {
                       conn_sock = accept(listen_sock,
                                          (struct sockaddr *) &addr, &addrlen);
                       if (conn_sock == -1) {
                           perror("accept");
                           exit(EXIT_FAILURE);
                       }
                       setnonblocking(conn_sock);
                       ev.events = EPOLLIN | EPOLLET;
                       ev.data.fd = conn_sock;
                       if (epoll_ctl(epollfd, EPOLL_CTL_ADD, conn_sock,
                                   &ev) == -1) {
                           perror("epoll_ctl : conn_sock");
                           exit(EXIT_FAILURE);
                       }
                   } else {
                       do_use_fd(events[n].data.fd);
                   }
               }
           }

       Lorsqu'on utilise une détection de changement d'états, pour des raisons de performances, il est  possible
       d'ajouter  le  descripteur  de  fichier  dans  l'interface  d’epoll  (EPOLL_CTL_ADD) après, en spécifiant
       (EPOLLIN|EPOLLOUT). Cela évite de  basculer  sans  cesse  entre  EPOLLIN  et  EPOLLOUT  lors  des  appels
       epoll_ctl(2) avec EPOLL_CTL_MOD.

   Questions/Réponses
       -  Quelle  est  la  clé  utilisée  pour distinguer les descripteurs de fichier enregistrés dans une liste
          interest ?

          La clé est une combinaison du numéro du descripteur de fichier et de la description du fichier  ouvert
          (aussi connue comme « open file handle », la représentation interne au noyau d'un fichier ouvert).

       -  Que  se  passe-t-il  si  on  enregistre  deux  fois  le  même descripteur de fichier dans une instance
          d’epoll ?

          Vous aurez probablement un EEXIST. Cependant il est possible d'ajouter  un  duplicata  de  descripteur
          (dup(2),  dup2(2),  F_DUPFD  de  fcntl(2))  sur la même instance d’epoll. Cela peut être une technique
          utile pour le filtrage d'événements, si les descripteurs dupliqués sont enregistrés avec  des  masques
          events différents.

       -  Deux  instances d’epoll peuvent-elles attendre le même descripteur de fichier ? Si oui, les événements
          seront-ils reportés sur les deux descripteurs de fichier d’epoll ?

          Oui, et les événements seront rapportés aux deux. Toutefois, une programmation soignée est  nécessaire
          pour que cela soit fait correctement.

       -  Est-ce que le descripteur d’epoll lui-même est sujet à poll/epoll/select ?

          Oui.  Si  un  descripteur de fichier d’epoll a des événements en attente, alors il indiquera qu'il est
          lisible.

       -  Que se passe-t-il si on  cherche  à  placer  un  descripteur  d’epoll  dans  son  propre  ensemble  de
          descripteurs de fichier  ?

          L'appel  epoll_ctl(2)  échouera (EINVAL). Toutefois vous pouvez ajouter un descripteur d’epoll dans un
          autre ensemble de descripteurs de fichier d’epoll.

       -  Puis-je envoyer le descripteur d’epoll à travers un socket UNIX vers un autre processus ?

          Oui, mais il n'y a aucune raison de faire ça, puisque le processus récepteur n'aura pas de  copie  des
          descripteurs de fichier de la liste interest.

       -  Est-ce  que  la  fermeture  d'un descripteur le supprime automatiquement de toutes les listes interest
          d’epoll ?

          Oui, mais prenez note des points suivants. Un  descripteur  de  fichier  est  une  référence  vers  la
          description d'un fichier ouvert (consultez open(2)). À chaque fois qu'un descripteur est dupliqué avec
          dup(2),  dup2(2),  F_DUPFD  de fcntl(2) ou fork(2), un nouveau descripteur de fichier qui se réfère au
          même fichier ouvert est créé. Une description de fichier ouvert continue d'exister jusqu'à ce que tous
          les descripteurs de fichier qui s'y réfèrent soient fermés.

          Un descripteur de fichier n'est retiré  d'une  liste  interest  qu'après  la  fermeture  de  tous  les
          descripteurs de fichier qui se réfèrent à la description de fichier ouvert sous-jacente. Cela signifie
          que  même après la fermeture d'un descripteur de fichier faisant partie de cette liste, des événements
          peuvent toujours être rapportés pour ce descripteur de fichier si d'autres descripteurs de fichier, se
          référant à la même description de fichier  sous-jacente,  restent  ouverts.  Pour  empêcher  cela,  le
          descripteur  de  fichier  doit  être  explicitement  supprimé  de  la liste (en utilisant epoll_ctl(2)
          EPOLL_CTL_DEL) avant qu’il ne soit dupliqué.  Autrement,  l’application  doit  assurer  que  tous  les
          descripteurs soient fermés (ce qui peut être difficile si les descripteurs ont été dupliqués en dehors
          du cadre par des fonctions de bibliothèque qui utilisent dup(2) ou fork(2))

       -  Si  plus  d'un  événement  surviennent entre deux appels epoll_wait(2), sont-ils combinés ou rapportés
          séparément ?

          Ils sont combinés.

       -  Est-ce qu'une opération sur un descripteur affecte les  événements  déjà  collectés  mais  pas  encore
          rapportés ?

          Vous  pouvez  faire deux choses sur un descripteur existant. Une suppression serait sans effet dans ce
          cas. Une modification revérifie les entrées et sorties disponibles.

       -  Dois-je lire/écrire sans cesse un descripteur jusqu'à obtenir EAGAIN si l'attribut EPOLLET est utilisé
          (comportement par détection de changement d'état) ?

          La réception d'un événement depuis epoll_wait(2) suggère qu'un descripteur est prêt  pour  l'opération
          d'E/S  désirée. Il doit être considéré comme prêt jusqu'à ce que la prochaine lecture ou écriture (non
          bloquante) remonte un EAGAIN. Quand et comment utiliser le descripteur dépend de vous.

          Pour les fichiers orientés paquet ou jeton (par exemple, un socket datagramme ou un terminal  en  mode
          canonique),  la  seule  façon  de  détecter la fin de l'espace d'entrée et sortie pour les lectures ou
          écritures est de continuer à lire ou écrire jusqu'à la réception d'un EAGAIN.

          Pour les fichiers orientés  flux  (par  exemple,  les  tubes,  FIFO  ou  sockets  en  mode  flux),  la
          disponibilité des entrées et sorties peut aussi être détectée en vérifiant la quantité de données lues
          ou  écrites  sur  le  descripteur.  Par exemple, si vous appelez read(2) en demandant la lecture d'une
          certaine quantité de données et que read(2) en renvoie moins, vous pouvez être  sûr  d'avoir  consommé
          tout  le  tampon  d'entrée  pour le descripteur. La même chose est vraie pour l'appel système write(2)
          (évitez cette dernière technique si vous  ne  pouvez  pas  garantir  que  le  descripteur  de  fichier
          surveillé corresponde toujours à un fichier de type flux).

   Erreurs possibles et moyens de les éviter
       -  Famine (détection par changement d'état)

          S'il  y  a  un  gros  volume  d’espace  d’E/S, il est possible qu'en essayant de les traiter, d'autres
          fichiers ne soient pas pris en compte provoquant une famine. Ce problème n'est pas spécifique à epoll.

          La solution est de maintenir une liste de descripteurs prêts et de marquer le descripteur  de  fichier
          prêt  dans  leur  structure associée, permettant à l'application de savoir quels fichiers traiter mais
          toujours en tourniquet englobant tous les fichiers prêts. Cela permet aussi d'ignorer  les  événements
          ultérieurs sur des descripteurs prêts.

       -  En cas d’utilisation d'un cache d'événements...

          Si  vous  utilisez un cache d'événements, ou stockez tous les descripteurs renvoyés par epoll_wait(2),
          alors assurez-vous de disposer d'un moyen de  marquer  dynamiquement  leurs  fermetures  (c’est-à-dire
          causées  par  un  traitement  d’événement  précédent).  Supposons  que  vous  recevez  100  événements
          d’epoll_wait(2) et que l'événement 47  implique  de  fermer  l’évènement  13.  Si  vous  supprimez  la
          structure  et  utilisez close(2) pour le descripteur de fichier pour l’évènement 13, alors votre cache
          peut encore contenir des événements pour ce descripteur, posant alors des problèmes de confusion.

          Une solution est d'invoquer, pendant le traitement de l'événement  47,  epoll_ctl(EPOLL_CTL_DEL)  pour
          supprimer  le  descripteur  13,  le  fermer  avec  close(2),  puis marquer sa structure associée comme
          supprimée et la lier à une liste  de  nettoyage.  Si  vous  rencontrez  un  autre  événement  pour  le
          descripteur  13  dans votre traitement, vous verrez qu'il a été supprimé précédemment sans que cela ne
          prête à confusion.

VERSIONS

       Certains autres systèmes fournissent des mécanismes similaires. Par exemple, FreeBSD  propose  kqueue  et
       Solaris /dev/poll.

STANDARDS

       Linux.

HISTORIQUE

       Linux 2.5.44. glibc 2.3.2.

NOTES

       L’ensemble  des  descripteurs  de  fichier qui sont supervisés par un descripteur de fichier d’epoll peut
       être visualisé à  l’aide  de  l’entrée  pour  le  descripteur  de  fichier  d’epoll  dans  le  répertoire
       /proc/pid/fdinfo du processus. Consultez proc(5) pour plus de détails.

       L’opération  KCMP_EPOLL_TFD  de  kcmp(2)  peut être utilisée pour tester si un descripteur de fichier est
       présent dans une instance d’epoll.

VOIR AUSSI

       epoll_create(2), epoll_create1(2), epoll_ctl(2), epoll_wait(2), ioctl_eventpoll(2), poll(2), select(2)

TRADUCTION

       La  traduction  française   de   cette   page   de   manuel   a   été   créée   par   Christophe   Blaess
       <https://www.blaess.fr/christophe/>,   Stéphan   Rafin   <stephan.rafin@laposte.net>,   Thierry   Vignaud
       <tvignaud@mandriva.com>, François Micaux, Alain Portal  <aportal@univ-montp2.fr>,  Jean-Philippe  Guérard
       <fevrier@tigreraye.org>,   Jean-Luc   Coulon   (f5ibh)   <jean-luc.coulon@wanadoo.fr>,   Julien   Cristau
       <jcristau@debian.org>,     Thomas     Huriaux      <thomas.huriaux@gmail.com>,      Nicolas      François
       <nicolas.francois@centraliens.net>,     Florentin     Duneau    <fduneau@gmail.com>,    Simon    Paillard
       <simon.paillard@resel.enst-bretagne.fr>,    Denis    Barbier    <barbier@debian.org>,    David     Prévot
       <david@tilapin.org> et Jean-Paul Guillonneau <guillonneau.jeanpaul@free.fr>

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Pages du manuel de Linux 6.9.1                    12 juin 2024                                          epoll(7)